A l’avant-garde de la recherche, les générateurs d’oxygène et d’hydrogène moléculaire, 2 gaz nés de l’électrolyse de l’eau, un processus qui existe naturellement aussi dans notre corps. 

Il convient de souligner leurs importance dans la réponse inflammatoire et la respiration des cellules : avec comme conséquence, l’explication simple de la dégénérescence et des cancers, par défaut d’électron (phénomène d’oxydation). Un défaut majeur compensé justement par l’hydrogène moléculaire au pouvoir anti-oxydant exceptionnel, plus de 1000x celui de la vitamine C !

L’hydrogène (H) est l’élément le plus léger et le plus courant de l’univers.
Sous sa forme moléculaire (H2), c’est un gaz incolore, inodore, insipide, non toxique et non métallique.

Considéré auparavant comme physiologiquement inerte dans les cellules de mammifères, ne réagissant pas avec les substrats actifs dans les systèmes biologiques, l’hydrogène moléculaire (H2) a commencé à être sérieusement étudié après une publication parue en 2007 démontrant sa capacité à améliorer les dommages de reperfusion de l’ischémie cérébrale, et à réduire sélectivement les radicaux d’oxygène cytotoxiques forts, y compris les radicaux hydroxyles (OH-) et le peroxynitrite (ONOO-).

C’est principalement cette propriété anti-oxydante sélective, corroborée par d’autres études, qui va susciter l’intérêt croissant voire exponentiel de la communauté scientifique et permettre de disposer à ce jour de plusieurs milliers d’études sur les effets bénéfiques de l’hydrogène et/ou du mélange hydrogène/oxygène (66.66% / 33.33%) dans de multiples domaines de la santé. 

L’hydrogène moléculaire agit comme un antioxydant sélectif, ce qui signifie qu’il ne supprime pas les radicaux libres de manière indistincte.
Au contraire, il est unique en ce sens qu’il aide votre corps à fabriquer ses propres antioxydants endogènes.
Ceci est important car une utilisation excessive d’antioxydants peut être contre-productive, tandis que l’hydrogène moléculaire sert de régulateur redox.

Lien du site